L’offre, en lingerie, est plurielle. Frou-frous et brillances vous envoûtent, tout vous fait terriblement envie… Mais sous la fanfreluche, il y a des formes très précises qui s’adaptent au centimètre près à votre morphologie. Petit tour d’horizon des soutiens-gorge…
Les classiques, une valeur sûre :
Le soutien-gorge classique à armatures : plus couvrant que le balconnet, il assure confort et soutien grâce à son côté bien emboîtant. Pour presque toutes les poitrines (des bonnets A à D).
Le soutien-gorge sans armatures : moins mode mais très confort, coquet ou pratique, ce soutien-gorge est adapté à tous les types de poitrines, y compris les plus plantureuses, en fonction de la largeur des bretelles et de celle du dos.
Le balconnet : très décolleté, sa découpe arrondie dénude avantageusement le haut de la poitrine, tandis que ses armatures la maintiennent efficacement. Il convient à toutes les poitrines. Pour les petits formats, il rebondit légèrement les seins et les fait remonter. Les poitrines plus lourdes sont soutenues et valorisées par la découpe qui permet un effet pigeonnant.
La brassière : le maintien optimal pour toutes les sportives (bonnets A à E). Sans armatures, elle épouse et soutient la poitrine grâce à de larges bandes élastiques sous les bonnets et dans le dos. Ses bretelles sont souvent croisées dans le dos, qu’on appelle alors « dos nageur ». En maille extensible, à bretelles matelassées et larges, la brassière est l’indispensable accompagnatrice des efforts intenses.
Le bustier : il cultive l’esprit « boudoir », résolument chic et sexy, à porter le jour en « dessus-dessous » ou le soir sous un total look femme fatale… Dentelle ou satin, avec ou sans bretelles, il se limite en générale aux bonnets A, B ou C.
Le soutien-gorge « corbeille » : la forme corbeille, légère et sexy, découvre largement le haut de la poitrine et la rehausse grâce aux bonnets à armatures. Idéal sous un décolleté plongeant, il se prête très bien aux coupes ampliformes car sa forme rapproche naturellement les seins. Autrefois réservé aux petites poitrines, il existe aujourd’hui disponible en bonnets C et D.
Les « light », mini mais sexy :
Le triangle : réservé aux petites poitrines, le triangle leur assure le soutien adéquat tout en les flattant. Joliment juvénile, il permet l’usage des fines bretelles et les décolletés profonds mais pas vertigineux. Particulièrement flatteur avec un haut assez ample sur silhouette filiforme.
Le bandeau : de forme rectangulaire, le bandeau est plus « cosmétique » que vraiment soutenant… Recommandé uniquement aux bonnets A.
Le soutien-gorge à bonnets moulés : pour l’invisibilité en tout confort. Idéal pour une journée de shopping ou sous un top très moulant, pour poitrines menues à moyennes (bonnets A à C).
Les « cosmétiques » :
Le push-up : destiné à galber les poitrines menues, le push-up est rembourré et dessiné de telle sorte que les seins se rapprochent l’un vers l’autre, produisant ainsi un effet décolleté « pigeonnant ».
Le balconnet ampliforme : d’usage plus quotidien que le push-up, il convient à toutes les poitrines… à l’exception, bien sûr, de celles qui ne manquent pas d’avantages au naturel ! Surtout conçu pour les bonnets A, B ou C, ce type de soutien-gorge est garni d’un petit coussinet qui rebondit discrètement la poitrine sans en faire trop.
Le minimiseur : réservé aux poitrines généreuses et aux bonnets C, D, E et F, ce soutien-gorge aux bretelles et à l’agrafage dos enveloppe les seins et les resserre sans les comprimer dans une maille « seconde peau » invisible.